Une semaine après la mort d’un jeune chômeur dans la ville de Kasserine, le soulèvement populaire se poursuit et s’étend dans tout le pays. La contestation, soutenue par l’Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT), l’Union Générale des Étudiants de Tunisie (UGET) et le Front Populaire, commence